Episode 54 : du cinéma d’endives moites

Episode 54 de Super Ciné Battle, le podcast où nous établissons le classement ultime du cinéma. Nous prenons vos listes que vous nous adressez pour les classer, du meilleur au pire afin d’obtenir LA liste ultime.

Dans cet épisode: BEAUCOUP de nanars et de films consternants. La Ligne Verte est-elle en danger ? Ecoutez cet épisode pour le savoir. C’est aussi la première apparition d’un héros des temps nouveaux des années 90 dans notre liste. Steven Seagal. Attention les secousses.
Merci de soutenir le Patreon du Robotics Podcast Universe. On est si euphorique qu’on a rajouté un objectif surprise. Juste comme ça, pour rire, car on l’a déjà dépassé. Mais comme on est des gosses, on en a fait un trailer, signé Papa.
C’est aussi, grâce à vos dons, un des épisodes les plus longs, plus de deux heures, et ça le restera tant qu’on restera au dessus de ce cap. Merci à vous et bon courage aux joggeurs.
Le podcast, lui, reste gratuit, inchangé, toujours disponible une semaine sur deux, et rien que le fait que vous l’écoutiez nous fait plaisir. Merci encore pour tout votre soutien, quel qu’il soit.
Sinon on prend de nouveau les listes des années 90. De 1990 à 1999. Ces listes de TROIS films, vous nous les adressez par mail qui est supercinebattle (at) gmail (point) com. Un titre intéressant, une thématique audacieuse ou simplement un gag, on est contre rien du tout. Au micro, Daniel Andreyev (@kamuirobotics) et Stéphane Bouley (@GKPlugInBaby). On aime le cinéma et on confronte nos avis. 
Les recommandations (vers 2h05mn)

Stéphane : Le film « Battleship Island » de Ryoo Seung-wan
Daniel : Le film « Mektoub, my love: canto uno » de Abdellatif Kechiche

Le classement de tous les films cités dans cet épisode est disponible ici. Attention, Spoilers !

Le livre Super Ciné Battle sort le 11 avril, vous pouvez le commander chez votre libraire favori et sur les sites classiques (comme la Fnac). Merci à ceux qui l’on déjà fait.

 

Enfin, on prépare un enregistrement LIVE. Ca se déroule à Paris le 28 avril dans l’après-midi. On vous tient au courant des modalités dans les prochaines émissions. C’est l’occasion aussi de vous voir pour une de nos rares dédicaces communes prévues pour le moment. Autre date prévue pour début juin. C’est comme une mini tournée sauf qu’on est pas des stars de rock.

Et puis enfin le Patreon du RPU, le Robotics Podcast Universe. Merci d’avance pour votre soutien.

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Episode 54 : du cinéma d'endives moites
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10 réponses sur “Episode 54 : du cinéma d’endives moites”

  1. Merci, je n’avais pas autant ri au boulot depuis longtemps.

    PS : j’attend vos avis sur Danse avec les loups et les Disney des années 90 avec impatience :3

  2. Je n’ai toujours pas compris ce qui s’est passé avec Quasimodo d’El Paris. Je me suis même sérieusement demandé si vous ne vous étiez pas plantés de film.

    J’ai demandé à mes potes pour vérifier, on est tous d’accord (et on est tous fans de la Menace Fantôme, pour te dire la légitimité !). C’est un excellent film, une des comédies françaises les plus drôles des années 90, ce qui s’est fait de plus proche en France des Monty Python.

    Mais justice sera faite : dans quelques milliers d’années, le marbre, n’étant pas éternel, se sera lui-même érodé. Et le bon Patrick Timsit retrouvera la place qui est la sienne, entre Funny Games et Entretien avec un Vampire.

  3. Vous ayant découverts sur le tard grâce à une reco de JK dans le podcast ZQSD, j’ai depuis poncé les super cine battle à tel point que j’ai bientôt plus rien à me mettre dans les conduits auditifs. Heureusement, il y a aussi les « after hate » et autres « parle à mon luc », tout aussi recommendables. Tout ça pour vous dire un grand « Bravo », un « surtout, n’arretez pas de graver dans le marbre » concaincu, et tout un tas de gimauves sincères mais trop longues à énumérer.
    Prochaine étape, vous envoyer une liste (de nanars p’têtre bien) et vous soutenir sur Patreon, dès que je n’aurai plus de famille à entretenir, ou peut-être à Noël.
    Kanpai.

    Ps : je reviens aussi d’Islande, et ben c’est vachement mieux que La Creuse.

  4. Un mythe s’écroule ! J’imaginais Papa enseigner dans les sommets, pelletant la neige devant sa classe chaque matin et défendant ses élèves à mains nues contre loups et Yéti, alors que non… il est simplement les doigts de pieds en éventail au bord du lac d’Annecy !

    1. J’ai dit que je bosse à Annecy, pas que j’y vivais, j’ai pas les moyens tu m’as pris pour un Youtubeur ?

  5. Bonjour et merci pour vos podcasts. Je vous ai découverts il y a peu et je rattrape le temps perdu avec gourmandise. Mais il faut avouer aussi que, parfois, pas souvent, vous me faites râler. C’est le jeu, je sais. Dernier moment en date, le fameux Facteur de Kevin Costner. J’ai trouvé un peu violent de dire que sa carrière déclinait (ce qui signifie qu’elle n’a jamais rebondi, ce qui est, à mes yeux, fait injure notamment à « Open Range » et même au « Love of the game » de Sam Raimi) et puis il m’a paru que vous étiez passés à côté de l’un des leviers majeurs du film, plein de défauts, de ratés, j’en conviens. Ce qui compte dans la compréhension du personnage du Postman, c’est qu’il est d’abord un imposteur, un gars qui se prétend responsable du courrier juste pour entrer dans un camp retranché et avoir gratuitement à manger. Il se trouve pris à son propre piège et j’ai trouvé dommage que vous passiez cela sous silence.

    1. Bah Open Range personne en a rien eu à battre, le film est correct mais ça n’a rien relancé du tout. Love of The Game c’était un gigantesque four aux USA et en France tu dois sans doute être le seul à l’avoir vu. La qualité des films n’est pas forcément en cause (même si bon Open Range pour moi c’est vite fait et Love of the Game a vraiment trop la gueule du film pour faire rebondir une carrière).

      Après oui effectivement on n’a pas parlé de cet aspect du film (soyons honnête au moins la moitié de l’équipe avait oublié), le fait qu’il finisse par mourir pour la grande cause nationale avec béatification finale nous a paru tout de même plus marquant, l’alibi du pseudo bad guy n’étant qu’un emprunt maladroit de plus à la mythologie Mad Max.

  6. J’ai l’impression que vous parlez de moins en moins des qualités/défauts des films, mais de plus en plus de l’à côté (palmarès palme d’or/ oscar, anecdotes sur le real ou l’acteur, crush d’ado sur une actrice etc…). Voir même vous en venez à parler d’autres œuvres plutôt que du film en questions à cause de digressions.

    Le moment de cet épisode qui illustre le plus ça c’est quand Stéphane demande plusieurs fois à Daniel ce qu’il a pensé du « 8ème jour » et qu’à chaque fois Daniel part sur autre chose…

    Je sais pas pourquoi mais il avait l’air du à enregistrer cet épisode. La peur de devoir passer les 2 heures? 🙂

  7. Bonjour Daniel et Papa,
    je suis étonné concernant Jurassic Park 2 que vous ne parliez pas de l’influence du film « Le Monde Perdu » de Harry O. Hoyt de 1925 (Notamment la fin où un dinosaure est ramené à Londres pour être exposer au public, et qui réussi à s’échapper pour foutre la panique en ville). Concernant le début du film JP2, c’est également le début du roman de Crichton, qui n’avait donc pas été mis dans le premier. Ceci mis à part, Keep up the good work ! comme on dit dans la langue de Carpenter. 😉

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