Episode 74 : un truc pourri au fond

Episode 74 de Super Ciné Battle, le podcast où nous établissons le classement ultime du cinéma. Nous prenons vos listes que vous nous adressez pour les classer, du meilleur au pire afin d’obtenir LA liste ultime.

Season finale pour les années 70 ! Evidemment, c’est un épisode avec des gros films. On ferme donc la page 70’s mais on ouvre celle des 80’s et donc les listes de cette décennie. Envoyez nous vos listes de TROIS films, qui nous les adressez par mail, toujours à supercinebattle (at) gmail (point) com. Un titre intéressant, une thématique audacieuse ou simplement un gag, on est contre rien du tout. Au micro, Daniel Andreyev (@kamuirobotics) et Stéphane Bouley (@GKPlugInBaby). On aime le cinéma et on confronte nos avis. 
Les recommandations (vers 2h15mn et quelques)

Stéphane : Spider-Man: into the Spiderverse
Daniel : Killer7 ressorti sur PC.

Le classement de tous les films cités dans cet épisode est disponible ici. Attention, Spoilers !

Super Cine Battle
Super Cine Battle
Episode 74 : un truc pourri au fond
Loading
/

8 réponses sur “Episode 74 : un truc pourri au fond”

  1. Ne pas mettre Le Parrain en #1.
    Le placer sous le Parrain partie 2.
    Vous me brisez le cœur Papa et Daniel ! Vous me brisez le cœur ! *vous embrasse avec rage*

  2. Salut ! Très bel épisode avec des gros films. Quelques petites précisions.

    A la fin du Parrain, on baptise le fils de Connie et son mari. Mais le rôle est du bébé interprété par Sofia Copola, je pense que c’est pour ça que Daniel a pensé qu’il s’agissait de la fille de Michael.

    Toujours au sujet de Michael, il souffre en effet d’un diabète non insulino dépendant qu’on appelle aussi diabète de Type 2.

    Moi personnellement, je préfère le premier parrain au deuxième. Je trouve que dans le 2, une fois qu’on sait ce qu’il adviendra de Fredo, le film fait beaucoup moins d’effet, puisque toute la tragédie est basée sur le destin de ce personnage au final. Alors qu’en revanche, le premier me fait toujours le même effet. Mais dans le 2, il y a Bod De Niro, c’est vrai. J’aurais aimé vous en entendre parler davantage !!

    1. Complètment d’accord, je préfère le premier pour les mêmes raison. Je trouve le premier parfait, et le deuxième un ton en dessous parcequ’il surprend tout simplement un peu moins.

  3. Hello,

    Alors juste pour détail ce n’est pas Vito qui explique ce qu’est l’Amérique, mais son client. Ça change un petit peu puisque c’est justement la personne qui fait appel à la mafia qui le justifie et non le parrain lui même.
    Quels films! j’ai tellement envie de les revoir!
    Parmis les premiers DVD que je me suis acheté avec ma première paye. J’ai été soufflé la première que je l’ai vu. Et à chaque revisionnage je l’aime encore plus et je découvre de nouvelles choses, (pareil avec Die Hard dans un autre genre) Et je pense qu’il n’y a que les très grands films qui sont capable de ça
    (j’ai découvert l’autre jour que Nicholson a refusé le rôle de Michael, parcequ’il jugeait que ça devait être un acteur d’origine italienne. Ça aurait fait drôle de voir Jack dans ce rôle, mais on imagine facilement son acting bizarement non? On peut le remercier mine de rien et sa carrière n’en n’a pas souffert)

    Très grand season final, je m’en vais me procurer Un après Midi de chien que je n’ai jamais vu! C’est quoi la top tier list des films de Sidney Lumet?

    1. La tier list de Lumet :

      12 hommes en colère
      La colline des hommes perdus
      Un après-midi de chien
      Network
      The offence
      Le verdict
      Point Limite
      Seprico
      A bout de course

      1. C’est dans ces moments que je me dis, Stéphane, mon ami sûr.
        (-> Running on empty / A bout de course est considéré comme un Lumet mineur, mais bon sang, je l’aime de tout mon coeur)

Répondre à P.A. Annuler la réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.