Episode 57 : de la joie de vivre

Episode 57 de Super Ciné Battle, le podcast où nous établissons le classement ultime du cinéma. Nous prenons vos listes que vous nous adressez pour les classer, du meilleur au pire afin d’obtenir LA liste ultime.

Des films durs et âpres dans cet épisode du retour, le premier qu’on enregistre depuis un mois, épisode live mis à part. Car oui, la semaine dernière, on a mis l’épisode live à votre disposition. Maintenant retour à la gravure des 90’s.
Sinon on prend de nouveau les listes des années 90. De 1990 à 1999. Ces listes de TROIS films, vous nous les adressez par mail qui est supercinebattle (at) gmail (point) com. Un titre intéressant, une thématique audacieuse ou simplement un gag, on est contre rien du tout. Au micro, Daniel Andreyev (@kamuirobotics) et Stéphane Bouley (@GKPlugInBaby). On aime le cinéma et on confronte nos avis. 
Les recommandations (vers 2h et quelques)

Stéphane : le musée Ghibli
Daniel : peut-être plus accessible, l’exposition Enfers et fantômes d’Asie, indispensable si vous aimez le cinéma asiatique.

Le classement de tous les films cités dans cet épisode est disponible ici. Attention, Spoilers !

Le livre Super Ciné Battle est sorti le 11 avril, vous pouvez le chercher chez votre libraire favori, le traquer sur des sites dédiés comme Paris Librairies si vous êtes parisien et sur les sites / grandes enseignes classiques (comme la Fnac). Merci à ceux qui l’on déjà acheté, ça nous touche beaucoup. on espère que vous kiffer. On adore quand vous nous envoyez des photos, chez vous, ou prises sur le lieu de ventes, entre Clint Eastwood et et l’autobio de Jeremstar.

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Super Ciné Battle
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Episode 57 : de la joie de vivre
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15 réponses sur “Episode 57 : de la joie de vivre”

  1. On a tous confondu « L627 » (sans Yves Montand) et « IP5 » (avec Yves Montand) même sans avoir vu le dernier.

    1. Concernant « Seul Contre Tous », il est la suite logique de « Carne », les films ont été tournés sur plusieurs années faute de budget, on est donc bien dans la même période que Kassovitz.
      J’ajouterais aussi l' »Etat des Lieux » de Richet

      1. C’était bien Ip5 qui date de la même période mais je pense que je superpose avec Police Python 357 aussi car c’est un polar (chose que n’est pas Ip5)

  2. Les « je déteste ce film », au bout d’un moment je m’en lasse aussi, j’aimerais bien de vrais arguments ! Avec tout le respect que je dois à Daniel.

  3. je reagis une dizaine d’episodes plus tard mais j’ai enfin vu body double et j’ai adoré,mais je n’ai pas compris la fin,tout etait un reve du personage principal,un tournage de film depuis le début?

    1. Pour moi il y a deux niveaux :

      1) celui du film, mise en abîme de tout le récit pour montrer que « tout ça c’est la magie du Cinéma »

      2) celui du personnage, il n’a pas rêvé, ça s’est produit mais le montage permet de restituer son changement d’état mental plutôt que de relater le déroulement « physique » des événements.

  4. Papa vient de passer un cap et s’impose comme la raison de Super Ciné Battle, face à la passion de Daniel !

    C’était drôle de voir ce dernier bousculé et presque confus alors que depuis 57 épisodes, on ne compte plus les films qu’il a enfoncé sans scrupule et ceux qu’il a fait grimper en pur fanboy ! C’est de bonne guerre ! 🙂

  5. Assassin(s) n’a t-il pas une filiation caché avec « le flingueur » de 1972 ? je doute que Kasso avec la culture ciné qui est la sienne n’ai jamais vu ce film, et la coincidence est troublante.

  6. Je rebondis sur le « je déteste ce film » évoqué plus haut. En fait, ça fait plusieurs fois que j’observe une sorte de rejet progressif de Daniel.
    Au début, il aime pas trop trop le film mais lui trouve des qualités. Stéphane dit que lui, il aime plutôt bien le truc. Et plus la discussion avance, plus Daniel se braque et finit par haïr furieusement le film et même à dire qu’il le « dégoute ».
    On a vu ça sur American History X, Juno, La ligne verte, American Beauty…

  7. Quand Daniel dit pour la première fois « où est-ce qu’on va le mettre » on sait qu’on ne va pas le mettre du tout parce qu’on est reparti sur de looongues discussions et c’est bien dommage car c’est souvent le moment où il faudrait couper court et le mettre, c’est le cas sur le Dîner de cons.

    Au lieu de ça on est toujours reparti sur d’interminables digressions sur la liste complète des Césars, des Oscars, des Palmes d’or, sur l’historique complet de tout le casting du film… Et il n’y a plus aucun rythme, on finit par ne même plus écouter ce qui se dit. Le pire c’est qu’à certains moments on a l’impression que vous vous forcez à trouver autre chose à dire, mais non voyons il faut savoir se dire stop…

    Vous voulez pas faire un podcast dédié sur les Oscars et les Césars plutôt, genre on refait l’histoire ? Le sujet peut être intéressant mais là à force ça fait vraiment redondant et parasite.

    L627: le film qui méritait qu’on y passe un peu de temps à mon sens parce que (déjà je le trouve génial et fascinant dans son désespoir) ce qu’il y a de bien c’est que vous n’avez parlé QUE du film lui-même, donc de trucs intéressants.

    Tout le contraire d’Assassins où c’était infernal et où on a parlé de tout ce qu’il était possible de parler SAUF du film. On parle de Pasqua, de TF1, des années 90, on entame le Super Kasso Battle… et on ne dit rien sur le film. pfouuuh.

    Quand Daniel dit « où est-ce qu’on va le mettre » et que c’est là qu’on commence seulement à en causer (un peu), c’est quand même qu’il y a un petit problème.

    American Beauty: le coup du « je vais mourir voilà ce qui s’est passé » je crois que c’est le Assurance avec la Mort de Billy Wilder qui l’a popularisé chez les cinéastes…

    Je me dis qu’il faudrait que je prenne un podcast pour établir le moment à chaque film où je me dis « c’est pile le moment d’arrêter d’en parler et de le classer » et en gros définir la durée pour chaque film qui permet de garder le podcast sur un bon rythme au lieu de dériver en pensum. (ça doit être 7-8 mn)
    Le méchant producteur hollywoodien, c’est moi. Il faut bien que quelqu’un joue le rôle ! (ne fût-ce que pour me dire merde.)

    1. Ce qui fait que Super Ciné Battle n’est pas un « random top alakon » comme on en trouve environ 3 milliards sur internet, ce sont justement les digressions et autres trivia wiki.

      Ca situe le film dans son environnement du moment (et dans le cas d’Assassins et de Kassovitz en général, c’est totalement justifié), ça permet d’apprendre des trucs qu’on aurait parfois pas soupçonné, et au pire, on écoute des gens passionnés -et qu’ a priori on aime bien- discuter d’un sujet qui fondamentalement nous intéresse ; un peu le principe d’un podcast en somme.

      L’absence de formatage est également un plus (à mon sens).
      Oui parfois c’est longuet quand on trouve le film totalement « osef » (et personnellement je me fous royalement de L627, bien que je lui reconnaisse ses qualités) mais a contrario quand le film nous parle et qu’il est traité (ou détruit) pendant 20 minutes, ça fait plaisir aussi.

      1. Ben justement, je suis pas d’accord.

        L’intérêt de SCB, et ce qui le démarque du random top, c’était d’être… une Battle. Un classement pour rire.
        C’est de voir Street Fighter classé au dessus de la Ligne Verte, d’entendre Daniel et Papa s’écharper sur Speed Racer – le sel étant que tout le monde sait dès le départ que c’est totalement futile; d’écouter Papa tenter de calmer les enflammades de Daniel sur ses films japonais tout en plaçant discrètement un Carpenter !

        La petite anecdote sur les Oscars 74 ou le souvenir d’enfance de Papa, elle est là comme l’épice qui relève le plat, pas comme l’ingrédient principal de la platée de marbre. Faire une digression de ce genre, la 1e fois, c’est drôle. Quand c’est la 20e fois qu’on nous rappelle que l’actrice a joué chez Truc et qu’elle était pas bonne et qu’elle a rencontré ensuite Machin qui blablabla – rien à foutre – c’est un peu usé.

        Et en terme de plaisir d’écoute, de dynamisme, de rythme, et DONC d’humour, tu peux pas nier qu’il y a une différence entre faire 15 films en 1h30, et faire 6 films en 2h30.

        Le classement pour rire était au centre du concept. Là fatalement, il disparaît.

        Super Cine Battle, c’est le gravage dans le marbre, le véhiculage de la Vérité !
        C’est pas le Masque et la Plume version anar !
        After Hate est très bien pour ça, où l’on prend tout le temps qu’on veut pour défoncer le dernier MCU !

        Et ça me fait peur pour les années 60, parce qu’au rythme où on est parti, y’aura plus de Battle du tout : ça va faire 3 heures dont 1h pour le Bon, la Brute et le Truand, 1h pour les Sept Samourais et 1h pour Goldfinger.

        Dans ce cas inutile de prétendre faire un classement ! D’autant qu’il n’y aura même plus ce panachage de chefs d’oeuvre, de films institutionnels pas aimés, de nanars et de navets : tout le monde ne va citer que des classiques ! Bah oui vous vous rappelez de beaucoup de navets de l’époque vous (à part les Gendarmes) ? La tendance de la liste des années 70 va s’accentuer à mort, le bas du classement sera composé de la Panthère Rose, les Canons de Navarone et les 101 Dalmatiens.

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